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Budapest 56 ! Qui se souvient ?

“Nous allons mourir, faites quelque chose ! Nous allons mourir…”. Tel est le dernier et pathétique appel que lançait le peuple hongrois qui mourait pour sa liberté. C’était en 1956, les troupes soviétiques entraient dans Budapest. Oui donc s’en souvient encore ?

Aujourd’hui, le politiquement correct clame son indignation quand le Premier ministre hongrois en appelle à la “fin du diktat” de l’Europe mais oublie curieusement le martyr qu’à subit ce pays coupé de cette même Europe par l’ignoble “rideau de fer”.

C’était en 1956, la Hongrie, le pays de Saint Etienne était mise à feu et à sang par les troupes soviétiques. Budapest, cette ville martyre qu’un fol espoir avait porté à croire à la liberté et à la fraternité fut couverte de sang. Cet acte, d’une sauvagerie inouïe ne fut jamais condamné. Il demeurera· à jamais la honte d’un régime basé sur la terreur : le communisme.

Les Hongrois pourtant qui se trouvaient à l’époque, à l’instar de millions d’autres européens, sous domination soviétique avaient cru, un moment, pouvoir échapper à l’énorme univers concentrationnaire dans lequel ils avaient été englobés de force. Les espoirs les plus fous avaient vu le jour. Enfin, l’occupant allait s’en aller. Rompre avec un passé fait de servitudes, de contraintes morales et physiques tel était ·l’espoir insensé des Hongrois, nos frères de l’Est, qui enfin avaient retrouvé la joie et le bonheur de vivre. La chose ne pouvait évidemment pas durer et c’est alors que Nikita Kroutchev au sommet de sa puissance devint le «bourreau» de Budapest. Les chars soviétiques venus par milliers écrasèrent la liberté dans le sang et la Hongrie fut à nouveau plongée dans les ténèbres. C’était en 1956 ! Qui s’en souvient encore?

La chute du mur de Berlin, le 9 novembre 1989 suivie de l’ouverture du rideau de fer à la frontière austro-hongroise le 1er janvier 1989 allaient marquer le retour à la liberté pour des millions d’Européens. Aujourd’hui cependant c’est l’Union Européenne qui, de manière plus insidieuse et par d’autres moyens entend imposer sa loi.
“Bruxelles nous parle et se comporte avec nous et avec les Polonais comme si nous étions des ennemis. Nous avons une impression de déjà vu, l’air de la doctrine Brejnev balaie l’Europe”, devait déclarer le Premier ministre Viktor Orban lors des commémorations de la révolution de 1956 contre la domination soviétique.

La Hongrie, comme la Pologne et la plupart des pays dits de l’Est ne veulent plus se soumettre au politiquement correct qu’entend imposer l’Union Européenne. Ils estiment, comme la majorité des Européens, qu’il est grand temps d’arrêter les migrations, de protéger les frontières et de renforcer l’indépendance des nations.

J.S.




Volontaires Russes pour Franco

Janvier 1930. Le roi Alphonse XIII, cédant aux pressions d’une partie de l’opinion publique, destitue le général Primo de Rivera qui devait mourir deux mois plus tard à Paris où il venait de subir une intervention chirurgicale. Le 14 avril 1931, naissait la république espagnole. En août 1932, une révolte d’officiers supérieurs donna un avant-goût de ce qui allait se passer dans le pays quatre ans plus tard. En 1933, de nouvelles élections ramènent aux Cortès (le parlement espagnol) une majorité conservatrice qui devait se maintenir jusqu’en février 1936, date à laquelle la coalition des gauches, groupées en Front populaire, parvint, de justesse, à revenir au pouvoir.


Quelques mois plus tard, la république espagnole devait montrer son véritable visage : occupation des terres, meurtres, attentats, incendies d’églises devinrent des événements quotidiens. On n’en est pas encore là aujourd’hui mais, si le régime en place continue à faire preuve de faiblesse, de tels faits ne tarderont pas à se renouveler. C’est ainsi qu’au lendemain d’une mémorable séance des Cortès, le leader nationaliste Calvo Sotelo devait être enlevé de chez lui et abattu par des tueurs communistes après que la “Pasionaria” – qui, soit dit en passant, devait à nouveau siéger aux Cortès – eût crié qu’il fallait exterminer les hommes de sa sorte.

Le 17 juillet 1936, une importante garnison du Maroc espagnol devait se révolter tandis qu’arrivait des Canaries le jeune général Francisco Franco, venu prendre le commandement des insurgés. Deux mois plus tard, la Junte de Défense nationale nomma le général Franco «caudillo» de l’Etat espagnol. La guerre civile venait de débuter. Immédiatement, des milliers de volontaires, venus des quatre coins du pays, allaient rejoindre les troupes nationalistes.

Les brigades internationales

Apparemment, aujourd’hui encore, conditionnés par une propagande tenace, les gens ne retiennent que deux faits de la guerre civile espagnole. D’une part, les volontaires des brigades internationales marxistes, présentés comme de jeunes idéalistes volant au secours de la démocratie espagnole et, d’autre part, l’aide allemande et italienne aux troupes nationalistes. C’est oublier – volontairement – la participation soviétique du côté républicain et celle des volontaires étrangers dans les rangs du général Franco.

Dès le début du soulèvement patriotique en Espagne, certains milieux belges, plus lucides que d’autres, comprirent qu’une victoire des marxistes dans la péninsule menacerait l’Europe entière.

Basile Orekhoff, un témoin mais également celui à qui l’on doit la création d’un détachement de Russes blancs qui continua en Espagne le combat entamé en Russie contre la peste rouge.

Un comité de soutien à la lutte des nationalistes espagnols fut formé à Bruxelles avec la participation active du colonel de Roover et du commandant Eugène de Lannoy. Parmi les autres personnalités, se trouvait le capitaine Basile Orekhoff, ancien officier de l’armée impériale russe et de celle du général Wrangel. Au moment d’écrire ces lignes en novembre 1979, il était directeur de la revue en langue russe (la seule en Belgique), «La Sentinelle». Entre parenthèses, si la revue «La Sentinelle» était éditée, depuis 1936, dans notre pays, c’est à la suite des menaces dont fut l’objet son directeur de la part des autorités françaises qui ne tolérèrent pas ses prises de position en faveur du mouvement du général Franco. Le regretté Basile Orekhoff fut également le président de l’Union Nationale des Russes blancs de Belgique”.

Ce comité de soutien à la lutte des nationalistes espagnols organisa notamment une collecte dans la population belge qui permit l’envoi en Espagne de deux ambulances de campagne. Le capitaine Orekhoff fut parmi les premiers journalistes étrangers à rejoindre les troupes franquistes et, après avoir été présenté au général Franco, il fut envoyé par ce dernier auprès de l’armée du général Varela en qualité de correspondant de guerre.

Guernica : la légende et la réalité

Messe orthodoxe en campagne pour le détachement russe Blanc en 1937

En sa qualité de journaliste, le capitaine Orekhoff fut le témoin direct des nombreux événements dramatiques qui marquèrent la guerre civile espagnole. Son témoignage sur la destruction de la ville de Guernica est capital pour ceux qui veulent connaître la réalité des faits. La légende de la destruction de Guernica par l’aviation «nazie» est bien connue; aussi est-il nécessaire, une fois pour toutes, de remettre les choses à leur place. Si la réalité du bombardement par l’aviation franquiste de dépôts militaires est indéniable, il est, par contre, tout-à-fait faux de mettre sur le compte de l’aviation nationaliste la destruction de la ville. Le martyre infligé à Guernica fut le fait des seules troupes républicaines qui, cédant à la panique, brûlèrent et saccagèrent la ville, massacrant une population dont le seul tort avait été de manifester trop bruyamment sa haine des rouges. C’est cela, la vérité historique, une vérité qui, faut-il le dire, serait bonne à rappeler à certains Espagnols qui tolèrent que leurs bourreaux d’hier ont, par la suite, siègés à nouveau en toute impunité au parlement de leur pays.

L’intervention soviétique

“Terror Rojo” : les atrocités commises par les républicains firent des milliers de morts.

La En plus de l’aide fournie par la France de Léon Blum aux troupes marxistes, le maître du Kremlin, Joseph Staline, envoya toute espèce de matériel de guerre, des conseillers techniques, des pilotes, des chauffeurs et… des commissaires politiques. Le capitaine Orekhoff fut témoin de la bataille de Brunete au cours de laquelle furent abattus 16 avions soviétiques. Il interrogea les pilotes russes faits prisonniers, ce qui permit de fournir à l’état major du général Franco des renseignements extrêmement importants sur la situation militaire qui régnait alors dans la capitale espagnole. Ces interrogatoires permirent d’apprendre que l’état-major du général Miaja était composé de plusieurs officiers soviétiques et que le chef d’état-major, le colonel Roja, se contentait d’exécuter aveuglément leurs directives. Ces interrogatoires confirmèrent également le fait que le commandement des brigades internationales se trouvait sous le contrôle entier des «conseillers» staliniens. On est donc loin de la seule intervention «fasciste», venue au secours de Franco.

Les brigades internationales de Franco

En plus des volontaires italiens et allemands qui servirent dans les troupes nationalistes, il faut également ajouter les jeunes Français, Belges, Anglais, Américains et Russes qui rejoignirent la croisade de Reconquista.

Devant l’importance prise par les brigades internationales du côté républicain, le capitaine Orekhoff propose à l’état-major franquiste la création d’un détachement de Russes blancs. Un bureau de recrutement fut clandestinement installé à Paris et de nombreux officiers de la colonie russe s’engagèrent pour poursuivre le combat entamé quelques années plus tôt en Russie contre le marxisme. Le départ de ces volontaires se fit dans la plus grande discrétion alors que les brigades internationales prenaient tout simplement le train, généreusement dotées par le gouvernement français. Les autres, par contre, devaient rejoindre les troupes nationalistes par toute une série de filières qui n’étaient d’ailleurs pas sans danger. Le détachement des Russes blancs, une fois formé, fut incorporé dans la «Tercio Donia Maria de Molina», une vaillante unité qui fut mentionnée plusieurs fois à l’ordre de l’armée. Les volontaires russes furent de toutes les grandes batailles de la guerre civile et leurs faits d’armes ou d’héroïsme furent nombreux. Témoin, la mort tragique du général Fock et du capitaine Poloukhine qui, encerclés dans une église par un détachement rouge, se battirent durant des heures avant de se suicider afin de ne pas connaître le déshonneur d’une capitulation. L’aviateur russe Martchenko inscrivit plusieurs victoires à son actif tandis que le prince Magaloff devait se distinguer dans la bataille de Madrid et que le général Chinkarenko devait être gravement blessé près de Bilbao.

La guerre des ondes

Sur un autre plan, le capitaine Orekhoff devait organiser des émissions en langue russe à l’intention des militaires soviétiques servant dans les rangs républicains.
Ces émissions-radio, les premières dans le genre, furent diffusées chaque jour, au départ de Salamanque, et contribuèrent fortement à démoraliser les «volontaires» soviétiques en les informant de la situation militaire réelle. Dans un livre publié à Moscou après la guerre, le général soviétique Voronov n’a d’ailleurs pas manqué de souligner le caractère «néfaste» des émissions radio des Russes Blancs «à la solde des fascistes espagnols». Ces émissions fonctionnèrent encore 18 ans après la fin de la guerre civile et elles furent interrompues faute de moyens financiers. Après la victoire de Franco, tous les officiers russes furent incorporés – sur leur demande – dans l’armée espagnole. L’expérience acquise par ces officiers dans l’armée Wrangel permit à Franco de ne pas commettre les mêmes erreurs que les troupes blanches en Russie.

J.S

(Cet article a été réalisé en 1979 et publié dans le Nouvel Europe Magazine sur base d’éléments fournis par le Capitaine Basile Orekhoff. Il était un homme d’honneur dont j’ai apprécié la gentillesse, la simplicité, l’intégrité, la noblesse d’esprit et la loyauté. Basile Orekhoff restera à tout jamais gravé dans la mémoire de ceux, malheureusement de moins en moins nombreux, qui l’ont approché.



La Palma : l’île la plus verdoyante des Canaries, visitée par 45% de Belges en plus

Le tourisme durable dans des endroits verts rencontre un succès croissant auprès des Belges. C’est également le cas à La Palma, aux Canaries. Bien que des destinations comme Tenerife et Gran Canaria soient plus connues du grand public, La Palma a enregistré la plus forte augmentation de voyageurs belges en 2019. Une telle progression s’explique par ses atouts, à savoir des paysages impressionnants, plusieurs climats, un ciel étoilé magnifique et sans pareil ainsi que les plus beaux sentiers de randonnée. Il s’agit d’une destination aux multiples facettes, où l’authenticité n’a pas encore cédé le pas au tourisme de masse. Des qualités en parfaite adéquation avec le désir croissant de tranquillité et d’espace, en harmonie avec la nature.

La Palma : une destination touristique
L’année touristique de La Isla Bonita, comme on appelle aussi La Palma, s’est terminée avec d’excellents chiffres en 2019. L’île a accueilli presque 7.000 vacanciers belges, ce qui représente une hausse d’environ 45%*. Pour beaucoup de Belges, La Palma est le «trésor caché» des îles Canaries. Elle satisfait tous les voyageurs qui cherchent à la fois le soleil, la nature et l’action. L’île est très appréciée pour ses dizaines de sites de plongée, ses plages de sable immaculées, sa route des volcans et son ciel étoilé.

Accessibilité
TUI fly propose un vol direct de Bruxelles à La Palma, les mardi et vendredi durant la saison estivale, et le samedi durant la saison hivernale.

Salon des vacances de Bruxelles

Si vous souhaitez plus d’informations, vous pouvez vous adresser au personnel de l’office de tourisme de La Palma, qui sera présent sur le grand stand de l’Espagne, au palais 5, lors du Salon des vacances de Bruxelles. Le Salon des Vacances se déroulera à Brussels Expo, du 6 au 9 février inclus.

* source : AENA, chiffres des passagers arrivés par vols directs sur base de l’aéroport de départ.

À propos de La Palma
Des 7 îles des Canaries, La Palma est celle située la plus au nord-ouest. C’est une destination de vacances unique, de par sa nature spectaculaire et diversifiée et ses paysages volcaniques préservés. L’île est un paradis pour les randonneurs et les aventuriers à la recherche de belles balades. Elle se révèle également parfaite pour les voyageurs qui cherchent le calme, car elle n’est pas encore envahie par les touristes. Pour de plus amples informations, voir : visitlapalma.es



P&O Ferries releases first images of €260M new super-ferries designed to revolutionise transport between Britain and Europe

P&O FERRIES today releases the first official images of the €260 million new generation of super-ferries which will transform the experience of travelling between Britain and the Continent. The largest ships ever to sail between Dover and Calais, the first of the 230-metre super-ferries will be operational by 2023.

David Stretch, Managing Director – Short Routes at P&O Ferries, said: “These remarkable images provide a glimpse of the transformation which our customers will experience when they travel between Britain and Europe on the most sustainable, most reliable and most customer friendly ships ever to sail on the route. This major investment will be a vital part of Europe’s transport infrastructure into the 2040s and symbolises our commitment to making trade flow for our customers.”

Major innovations of the new super-ferries will include:

  • Cutting fuel use by 40 per cent through a combination of fuel and battery propulsion.
  • The heat recovery system saves fuel which reduces the vessel’s carbon footprint.
  • Future proofing anticipates the ‘zero carbon emissions ship’.
  • A double-ended design and two bridges on the ship, meaning that there is no need for it to turn around.
  • Outside deck areas to provide viewing platforms of the White Cliffs of Dover.
  • Panoramic sea views for passengers
  • A power management system to efficiently close down parts of the ship when not in use.
  • A revolutionary new shape of hull for the English Channel and azimuth thrusters which increase manoeuvrability of the ship.



airBaltic New Record – 5 Million Passengers in 2019

Riga. Latvian airline airBaltic in 2019 has carried 5 049 317 passengers or 22% more than the year before to its network. It is the highest number of passengers carried in airline’s history.

 Martin Gauss, Chief Executive Officer of airBaltic: “We are reaching new heights and offering better connections to people travelling to and from the Baltics. In 2019, we continued our sustainable growth path and showed strong results that will help us to pave our future path, strengthening our role as the largest carrier in the region.”

“Last year we launched nine new routes, and, by adding more Airbus A220-300 to our fleet, increased the comfort and reliability of our flights. Already now majority of our passengers fly on the Airbus A220-300 aircraft,” Martin Gauss.

 In 2019, airBaltic operated a total of 62 748 flights or 12% more than in 2018. The airline’s load factor, which represents the number of passengers as a proportion of the number of available seats, was at a level of 76% in 2019.

2019 2018 Change
Number of passengers 5 049 317 4 135 711 +22%
Number of flights 62 748 56 261 +12%
Load factor 76% 75% +1%-point
15-minute flight punctuality indicator 86% 88% -2%-points
December, 2019 December, 2018 Change
Number of passengers 357 723 292 765 +20%
Number of flights 4 786 4 470 +7%
Load factor 70% 64% +6%-points
15-minute flight punctuality indicator 89% 86% +3%-points

In 2020, airBaltic continues its expansion in the Baltics and will launch 14 new routes, including four new direct destinations from Tallinn, Estonia, and five new destinations from Vilnius, Lithuania. A complete schedule of airBaltic flights and tickets for the new destinations are already available on the company’s website at www.airbaltic.com.




Holland America Line est le meilleur choix pour aller en Alaska, en 2020: la compagnie la plus primée pour cette destination propose de nouvelles aventures sur place et le plus grand nombre de croisières vers Glacier Bay

La promotion temporaire Why not now? offre des avantages supplémentaires : surclassement pour la cabine, crédit à bord, carte pour les boissons, enfants voyageant  gratuitement…

L’année 2020 sera intense pour Holland America Line, avec ses croisières en Alaska ainsi que ses voyages terrestres et maritimes, qui ont été primés. La compagnie confirme ainsi son statut de leader incontesté sur le marché des croisières en Alaska, en proposant la plus grande variété de destinations, comme la découverte de Glacier Bay, et le premier navire de la classe Pinnacle, le Koningsdam.

Grâce à la promotion ‘Why not now?’, les clients profitent de multiples avantages pour une sélection de croisières en Alaska ainsi que de voyages terrestres et maritimes: surclassement pour la cabine, crédit à bord atteignant jusqu’à
500$ par cabine, octroyé au premier et au deuxième passager de la cabine, les enfants voyagent gratuitement ou à tarif réduit, acompte de 50% en moins et 10% de réduction sur certaines excursions terrestres, pour les réservations effectuées avant le 28 février 2020. Les clients qui choisissent des suites, bénéficient d’avantages supplémentaires.

«La compagnie Holland America Line a joué un rôle de pionnière dans le domaine des croisières en Alaska. Notre longue expérience permet à nos clients de réaliser le voyage de leur vie, en passant des moments inoubliables lorsqu’ils découvrent les animaux sauvages, les glaciers spectaculaires et les montagnes impressionnantes. C’est le moment idéal de l’année pour réserver, étant donné les magnifiques avantages de notre promotion ‘Why not now?’», a déclaré Orlando Ashford, président de Holland America Line. «En 2020, notre offre comporte un vaste choix de croisières sur différents navires de taille moyenne, conçus de manière à pouvoir mieux observer l’environnement et à éviter les ponts bondés. Comme nos clients se déplacent à bord de nos rames de train ainsi que de nos autocars et qu’ils séjournent dans nos hôtels haut de gamme, lors de nos voyages terrestres et maritimes, nous pouvons leur assurer des correspondances aisées, un service constant et des horaires leur permettant de passer le plus de temps possible dans chaque destination».

Depuis plus de 70 ans, Holland America Line amène ses clients en Alaska – soit avant même que ce territoire devienne un État. La compagnie propose aux voyageurs d’aujourd’hui des expériences inégalables, grâce aux compétences des experts locaux. D’avril à septembre, sept navires de luxe emmèneront les passagers pour une croisière pleine d’aventures extraordinaires et enrichissantes en Alaska. Ces navires effectueront un circuit au départ de Seattle ou de Vancouver B.C., ou un aller simple entre Seward (Anchorage, en Alaska) et Vancouver.

«Au milieu d’une profusion de grands navires surpeuplés, ceux de Holland America Line se distinguent par leur taille moyenne, car les voyageurs disposent de beaucoup d’espace sur le pont, pour profiter des vues époustouflantes», a ajouté Orlando Ashford. «Les larges ponts du navire et les nombreuses cabines dotées d’une véranda rapprochent nos clients des merveilles naturelles de l’Alaska».

Si les passagers veulent pénétrer plus à l’intérieur des terres, 15 voyages terrestres et maritimes différents leur sont présentés, en combinaison avec des croisières de trois, quatre ou sept jours, afin de rester plus longtemps – jusqu’à trois nuits – au parc national de Denali, le fleuron de l’arrière-pays. Grâce à ses connaissances d’initié et à son réseau étendu, constitué de ses propres hôtels, rames de train et autocars notamment, Holland America Line est la seule compagnie à organiser des excursions terrestres facultatives, qui vont aussi loin qu’à Dawson City, le cœur de la ruée vers l’or du Klondike, et que dans les zones vierges du Yukon.Plus de glaciers et plus d’occasions de les admirer
La meilleure manière d’admirer les imposants glaciers d’Alaska est de les contempler depuis la mer. Chaque croisière permet de découvrir un ou plusieurs lieux emblématiques : le parc national de Glacier Bay, le glacier Hubbard ou les glaciers jumeaux Sawyer dans le fjord de Tracy Arm. Holland America Line propose le plus grand nombre de croisières vers Glacier Bay, un site incontournable pour beaucoup de voyageurs qui visitent l’Alaska.

Les nouveautés marquantes en 2020

  • Lors de sa toute première saison en Alaska, le Koningsdam réalisera des circuits de sept jours et naviguera le long de l’Inside Passage, au départ de Vancouver, B.C. Il appartient à cette toute nouvelle catégorie de navires qui mettent une série d’infrastructures exclusives de Holland America Line à la disposition des passagers en Alaska : le Music Walk, où tous les genres de musique sont interprétés sur trois scènes, la Rolling Stone Rock Room, où un groupe de musiciens jouent en direct et redonnent vie aux tubes de rock les plus connus du passé, le théâtre ultramoderne World Stage, la brasserie française Rudi’s Sel de Mer, le bar à sushis Nami Sushi, un grand nombre de cabines dotées d’une véranda et bien plus encore. Holland America Line est la seule compagnie qui effectue des circuits de sept jours, au départ de Vancouver, vers le parc national de Glacier Bay.
  • Les voyages de quatorze jours Great Alaska Explorer EXC In-Depth à bord du Maasdam donnent l’opportunité d’explorer l’Alaska d’une toute nouvelle façon. Le navire réalise un circuit au départ de Vancouver et s’arrête dans des ports rarement visités, comme Homer et Valdez. Les clients ont le choix entre des ateliers interactifs, des conférences et des excursions terrestres sur les thèmes suivants : photographie,  nature, nourriture et boissons, histoire et exploration active. Sur le navire, des canots pneumatiques sont disponibles pour observer de plus près les animaux sauvages, les glaciers majestueux et le paysage fascinant, en compagnie d’un expert.
  • À bord de tous les navires, les clients peuvent sélectionner des activités du vaste programme élaboré à bon escient par le centre d’information Explorations Central. Par le biais de ce programme, des experts régionaux plongent les clients dans l’univers culturel et historique des lieux. Par ailleurs, un biologiste venant d’Alaska se trouve à bord. Lors des croisières vers Glacier Bay, un garde du parc national et un locuteur natif du peuple Huna sont présents. Enfin, des exposés spécifiques sur des sujets locaux précis, comme les pilotes de brousse en Alaska et la fameuse course de chiens de traîneau Iditarod, sont également prévus.
  • Toutes les croisières vers le Yukon, comme les voyages de 10 jours dans le Yukon, qui connaissent un franc succès, et les doubles voyages terrestres et maritimes au parc national de Denali, comportent maintenant deux nuitées à Dawson, au cœur du Yukon. Les clients ont ainsi plus de temps pour revivre l’histoire de la ruée vers l’or et profiter de la vue fantastique sur la Yukon Valley, depuis le Midnight Dome.
  • En 2020, le double voyage terrestre et maritime de 14 jours au parc national de Denali et à Seward sera prolongé d’une nuitée supplémentaire au Alyeska Resort, dans les montagnes Chugach.
  • Sept chefs de renommée internationale encadrent chaque aspect des expériences culinaires vécues à bord. Pour la première fois dans le cadre des croisières en Alaska, des plats d’inspiration française et italienne seront préparés par le plus récent des membres du «Conseil culinaire» de Holland America Line, Kristen Kish, restaurateur très apprécié et vainqueur de la dixième saison de l’émission télévisée Top Chef.

Un savoir-faire d’initié, pour vivre des expériences uniques
Les 3.500 collaborateurs de Holland America Line en Alaska font partie du personnel le plus chevronné et le mieux formé dans le secteur des croisières. Beaucoup d’entre eux habitent en Alaska. Ils collaborent tous avec Holland America Line même, ce qui garantit un voyage très agréable et un service constant. La compagnie dispose de ses propres autocars, de ses luxueuses rames de train McKinley Explorer, pourvues d’un toit transparent, et de ses hôtels, tels que le McKinley Chalet Resort d’environ 250.000 m2, qui jouxte le parc national de Denali. Les itinéraires sont soigneusement élaborés, en recourant aux compétences locales et au savoir-faire d’initié, afin que les clients profitent au maximum de leur voyage. Ainsi, les heures de départ sont fixées de manière à offrir le plus de repos aux clients. Par ailleurs, des guides professionnels leur donnent des conseils, pour qu’ils vivent des moments inoubliables.

Élue meilleure compagnie en Alaska, par Cruise Critic et le magazine AFAR
Holland America Line a été désignée meilleure compagnie pour les croisières en Alaska. Elle s’est vu décerner le prix Cruisers’ Destination Awards 2019 par le célèbre site Internet Cruise Critic, consacré aux croisières, et le prix Travelers’ Choice Awards 2019 par le magazine AFAR, spécialisé dans les voyages. En outre, Holland America Line a remporté le prix Editors’ Picks Awards, adjugé par Cruise Critic, pour les meilleurs itinéraires. Ces récompenses confirment la position de la compagnie en tant que numéro un pour les voyages en Alaska placés sous le signe de l’aventure et destinés aux voyageurs les plus exigeants.

En 2020, les clients pourront effectuer une croisière en Alaska, à bord de l’Eurodam, du Koningsdam, duMaasdam, du Noordam, du Oosterdam, du Volendam et du Westerdam.




Wakala sera le nom de la nouvelle montagne russe familiale à Bellewaerde

Durant la visite du site de construction de la nouvelle attraction à Bellewaerde, le nom a été dévoilé aux fans du parc ainsi qu’à la presse qui étaient rassemblés. WAKALA sera le nom de la nouvelle montagne russe familiale ! Une référence à une ancienne légende indo-canadienne appartenant aux tribus Kwakiutl. La nouvelle attraction se trouve elle aussi, dans la zone Canada du parc. Les visiteurs pourront découvrir cette nouvelle attraction dès le printemps 2020. Pour le développement et la construction, un portefeuille de 7,5 millions d’euros a été fourni.

Montagne russe familiale
Le nom WAKALA est un clin d’œil à la culture Kwakiutl des indo-canadiens. Ces tribus indiennes vivent dans des forêts au bord de l’eau dans l’ouest du Canada, où les canoës sont leur moyen de transport principal. Ceci constitue les sources d’inspiration principales pour la thématique de la nouvelle attraction. Elles se retrouveront dans divers éléments tels que les trains ou encore la zone d’arrivée et seront en parfaite harmonie avec la zone Canada du parc.

L’attraction comporte plusieurs éléments qui permettront à toute la famille de s’amuser. Il y a entre autres, deux montées dont l’une avec une légère accélération ainsi qu’un croisement et un virage sur le parcours de l’attraction Dawson Duel. Le parcours, avec un certain nombre de virages audacieux mais confortables, termine sur une antenne de 21 mètres au-dessus de l’étang de Bellewaerde, sur laquelle les trains s’élèvent vers l’avant avant de repartir en arrière.

Avec l’arrivée de cette nouvelle attraction, Bellewaerde tire résolument la carte de la famille.
« Bellewaerde investit volontairement dans cette montagne russe car c’est une attraction familiale qui est accessible aux enfants à partir d’un mètre », déclare Stefaan Lemey, directeur de Bellewaerde. « WAKALA est un parfait complément à l’offre existante du parc. Bellewaerde propose à ses visiteurs une nouvelle sensation avec cette attraction que les jeunes et les moins jeunes peuvent vivre ensemble, » poursuit Stefaan.

Investissement
Le parcours de la nouvelle attraction a été réalisé sur mesure pour Bellewaerde et le parc travaille en collaboration avec le constructeur allemand Gerstlauer. Pour la construction de l’attraction, Bellewaerde fait appel à de nombreuses entreprises locales mais aussi à ses propres services internes.

Pour le développement et la construction de l’attraction, un portefeuille de 7,5 millions d’euros a été fourni. Cette attraction représente l’investissement le plus important pour une attraction depuis 1999 et dépasse donc les investissements des attractions Huracan et Dawson Duel.




L’hôtel Riu Playa Park a été récompensé pour son projet durable

L’hôtel situé à Playa de Palma a obtenu le prix « Re Think » pour sa climatisation durable

  • Lola Trián, responsable de la Durabilité, s’est déplacée pour recevoir cette récompense

La chaîne RIU Hotels & Resorts a été distinguée lors de la 6e édition des Prix Re Think Hotel,organisée durant le Salon International du Tourisme (FITUR) de Madrid. Il s’agit d’une reconnaissance des meilleurs projets de durabilité et de rénovation du secteur hôtelier espagnol. L’hôtel Riu Playa Park a eu cette année la chance d’être nommé dans la catégorie « Top 10 Re Think Hôtel des projets à exécuter ».

La remise des prix a eu lieu le 21 janvier dans la salle de réunion du Secrétariat d’État au Tourisme de Madrid, et Lola Trián, responsable de la Durabilité, s’est déplacée pour recevoir cette récompense, accompagnée par Catalina Alemany, directrice du service de RSC.  Pour Lola Trián, « c’est une fierté d’assister tous les ans à cette cérémonie et de présenter nos hôtels car le respect de l’environnement est l’un des principaux engagements de RIU et nous encourage à miser, depuis nos établissements, sur de nouvelles formules qui garantissent une meilleure valorisation énergétique ».

L’hôtel Riu Playa Park est un projet très important ; il a été démoli puis reconstruit en 2019. Le nouvel établissement présente maintenant un système de climatisation permettant d’utiliser l’énergie résiduelle pour chauffer l’eau. Ainsi, dans cet hôtel et dans la grande majorité des établissements de la chaîne, l’eau est chauffée grâce aux résidus énergétiques produits par la climatisation, ce qui permet d’obtenir une performance jusqu’à 600 % supérieure aux systèmes conventionnels.

Les prix Re Think Hotel réunissent le secteur public et le secteur privé. Leur objectif est d’intéresser les entreprises du tourisme à la rénovation durable hôtelière, tant pour les avantages économiques et environnementaux qu’offre sa mise en place, que pour la création de valeur stratégique qu’elle présente pour le développement futur du secteur. Re Think est une initiative organisée par le Groupe Habitat Futura à laquelle collaborent l’Institut pour la Diversification et l’Économie d’Énergie (IDEAE), un organisme relevant du Ministère de l’Industrie, de l’Énergie et du Tourisme, et l’Office Espagnol du Changement Climatique (OECC) du Ministère de l’Agriculture, de l’Alimentation et de l’Environnement




Vinaròs Carnival

The Carnival in Vinarós is the most important in the province of Castellón and it’s experienced in the street. Twelve days before Ash Wednesday, the different events of the Carnival begin. There are lots of popular events, such as the tying of the ribbons to the standards of the parade troupes, the proclamation of the queens, two major parades held on the last weekend and different sporting, cultural, and gastronomic events. This year, the Vinaròs Carnival will be held from February 8 to 24.




San Antonio Festival (Castellon – Spain)

This festival combines the religious fervour and worship of San Antonio with the traditional pagan ritual of the winter solstice. Many municipalities in the province join this festival of fire, gastronomy and tradition in which animals always play a lead role. Two of the most interesting places for the celebration of this festival are Forcall (17 and 19 January) and Vilanova d’Alcolea (18)




Europa-Park, van postkoets tot beste park ter wereld

Europa-Park is een van de best bezochte attractieparken van Europa. In 2019 brachten ruim 5,7 miljoen gasten een bezoek. Ook steeds meer Nederlanders en Belgen weten de weg naar het Duitse attractiepark te vinden. Het park is al zes keer uitgeroepen tot beste attractiepark ter wereld en uit recent onderzoek blijkt dat 82% van de bezoekers binnen drie jaar opnieuw het park bezoekt. Wat is de sleutel tot het succes? Een kijkje achter de schermen geeft inzichten. Dat Europa-Park niet alleen een sociaal betrokken familiebedrijf is, maar ook producent van attracties en achtbanen, lijkt een belangrijke rol te spelen.

Terug in de tijd
De geschiedenis van het attractiepark begint meer dan 200 jaar geleden. In 1780 richtte Paul Mack in het Duitse Waldkirch een bedrijf op dat gespecialiseerd was in het bouwen van houten postkoetsen. De zaken liepen goed en daarom besloot Paul in 1880 om wagens te bouwen die geschikt waren voor het transport van orgels. Later kwamen daar ook nog de wagens bij voor de kermis en het circus. Vanaf 1920 ging de fabriek zich bezighouden met de ontwikkeling van attracties voor jaarmarkten. Een jaar later werd de eerste houten achtbaan voor een attractiepark gebouwd. Sindsdien ging het familiebedrijf verschillende soorten attracties bouwen en groeide het snel uit met klanten over de hele wereld. Inmiddels gaat 95% van de productie naar het buitenland. Ook in vele Nederlandse en Belgische parken, waaronder de Efteling en Walibi, staan attracties van deze fabrikant: Mack Rides. Dit bedrijf hoort nu tot een van de vijf grootste achtbaanbouwers ter wereld.

Het park: showroom voor eigen attracties
Het waren uiteindelijk Franz Mack en zijn zoon Roland die in 1972 op reis waren en op het idee kwamen om een eigen attractiepark te bouwen. Het park moest een ‘levende showroom’ worden van de producten die de fabriek in Waldkirch kon maken. Uiteindelijk kreeg de familie Mack toestemming om een park te bouwen in Rust, een klein dorp in het Zwarte Woud, aan de rand van de Elzas. Op 12 juli 1975 opende Europa-Park voor het eerst de deuren. In dat jaar bezochten zo’n 250.000 mensen het park. Het park bestaat inmiddels uit 15 themagebieden waarin Europese landen tot in de kleine details zijn nagebouwd. Verdeeld over de themagebieden bevinden zich meer dan 100 attracties (90% van Mack Rides) en shows, waaronder 13 achtbanen. Nieuwe producten van Mack Rides worden steeds als eerste in Europa-Park geplaatst. Hierdoor maken parkbezoekers als eerste kennis met innovaties. Virtual reality op achtbanen werd bijvoorbeeld voor het eerst in Europa-Park toegepast. Bezoekers dragen een speciale bril en bevinden zich in een andere wereld terwijl ze tegelijkertijd de wind, krachten en bewegingen van een echte achtbaan ondergaan.

Culinair aanbod
Ook op culinair gebied heeft Europa-Park veel te bieden. In eerste instantie wilde de familie Mack het restaurantbedrijf in het park verpachten. Toen de gegadigde daarvoor overleed, besloot de familie Mack deze taak zelf op te pakken. Inmiddels heeft Europa-Park het grootste aantal restaurants op één locatie in Duitsland. De kwaliteit van het eten is belangrijk. In het park is fastfood verkrijgbaar, maar er worden vooral typische lekkernijen uit de gepresenteerde landen geserveerd: zoals tapas in Spanje, raclette in Zwitserland en poffertjes in Holland. Verder is Europa-Park het eerste en enige park ter wereld met Michelin-sterren: restaurant Ammolite in de vuurtoren van hotel Bell Rock heeft er twee. Daarnaast zijn er nog talloze andere eetgelegenheden, waaronder Foodloop. Dit is een restaurant voor de lekkere ‘track’ waar het eten via een achtbaan met loopings op tafel komt. De diverse locaties bieden overigens ook mogelijkheden voor grote en kleine bedrijfsbijeenkomsten en evenementen. Jaarlijks vinden er zo’n 1.300 plaats. Europa-Park noemt dat confertainment: een samenstelling van de woorden conferences en entertainment

Overnachtingsmogelijkheden
Europa-Park biedt zijn bezoekers verschillende mogelijkheden om te overnachten. Denk aan zes themahotels met in totaal 5.800 bedden (viersterren en viersterren superior). Ook deze ‘hoteltaak’ had de familie Mack in eerste instantie niet voor zichzelf in gedachten. Maar toen op het laatste moment een hotelketen afhaakte, besloot de familie toch zelf een hotel te beginnen. In 1995 opende het eerste hotel, El Andaluz, zijn deuren. Oorspronkelijk was dit hotel nog een etage hoger, maar opa Franz Mack twijfelde blijkbaar nog. Hij sloop ’s nachts uit zijn bed om de bovenste etage op de bouwtekening uit te gummen. In 1999 volgde hotel Castillo Alcazar, in 2004 hotel Colosseo, in 2007 hotel Santa Isabel, in 2012 hotel Bell Rock en in 2019 hotel Krønasår. Overnachten kan ook in tipitenten, huifkarren of blokhutten van het Camp Resort of in de eigen caravan of camper op de camping.

Doorontwikkeling
Europa-Park heeft een sterke marktpositie. Om het resort en de regio ook op de lange termijn aantrekkelijk te houden voor gasten van verder weg, blijft doorontwikkeling belangrijk. Op 28 november 2019 begon Europa-Park aan een nieuw hoofdstuk in de familiegeschiedenis. Op die dag opende Europa-Park de deuren van zijn ‘second gate’: Waterwereld Rulantica. Dit nieuwe en baanbrekende project is de grootste investering van de familie Mack tot nu toe (180 miljoen euro inclusief infrastructuur). Jaarlijks worden in dit indoor waterpark zo’n 600.000 tot 700.000 bezoekers verwacht. Van het totale project (63 voetbalvelden groot) zijn nu de eerste twee onderdelen voltooid: het waterpark en het eerder genoemde themahotel Krønasår dat in mei 2019 is geopend. Dit hotel biedt gasten via een brug exclusieve toegang tot Rulantica.

Familiebedrijf
Het familiebedrijf Europa-Park wordt op dit moment geleid door de broers Roland en Jürgen Mack (de zevende generatie vanaf de start van de onderneming in 1780) en Michael en Thomas Mack: de zonen van Roland Mack. Ann-Kathrin, de dochter van Roland Mack, is als architect voor het eerst betrokken bij de nieuwste projecten. De taken worden in fases overgedragen aan de achtste generatie. Dat traject kan nog wel even duren, want de 70-jarige Roland Mack werkt nog steeds met veel plezier. De familie staat er niet alleen voor: ze heeft ruim 4.100 medewerkers in dienst. Voor een goede aansturing is de managementstructuur onlangs gewijzigd. Managers leggen voortaan verantwoording af aan de familie. Aan personeel wordt ook op andere manieren veel aandacht besteed, bijvoorbeeld met de bouw van woningen voor medewerkers en een uitgebreid opleidingsprogramma waarmee medewerkers zich kunnen ontwikkelen naar een andere functie. Dat kan in een van de twee parken zijn, bij het moederbedrijf Mack Rides of bij een van de dochterbedrijven, waaronder een mediaproductiebedrijf (Mack Media), een animatiestudio (Mack Animation), een ontwerp- en engineeringbureau (Mack Solutions), een muziekstudio (Mack Music), een entertainmentbureau (Blue Banana) of Tacumeon dat zich bezighoudt met mediabased attracties. Al deze bedrijven werken overigens ook voor andere attractieparken. Ook indirect draagt Europa-Park bij aan de werkgelegenheid in de regio: dit betreft circa 8.500 banen bij onder andere toeleveranciers, winkels en verblijfsaccommodaties.

Duurzaamheid
De maatschappelijke verantwoordelijkheid van familiebedrijven is over het algemeen groter dan gemiddeld. Dat geldt zeker ook voor Europa-Park. Het park hecht veel waarde aan het langetermijnperspectief en het behoud van de regio. Daarvoor werkt het voortdurend aan het verbeteren van de ecologische, economische en sociale duurzaamheidsaspecten en gaat daar ver in. Aanvankelijk lag de focus op natuurbehoud en recycling, maar tegenwoordig houdt het management zich ook bezig met energie-, water-, grondstoffen- en gebouwenbeheer. In 2013 ontving Europa-Park als eerste park ter wereld al het certificaat ‘Green Amusement Park’. Het park kreeg dit certificaat van het internationaal erkende testcentrum TÜV Süd vanwege zijn goede beoordeling voor de winning en het hergebruik van energie.

Prijzen
Een blik in de prijzenkast leert dat de inspanningen hun vruchten afwerpen. Europa-Park sleepte de afgelopen jaren diverse belangrijke prijzen in de wacht. Een voorbeeld is de verkiezing van het internationale vakblad Amusement Today. Deze riep Europa-Park de afgelopen zes jaar op rij uit tot beste attractiepark ter wereld. Andere prestigieuze prijzen die meerdere jaren op rij werden gewonnen zijn de Travellers’ Choice Award van Tripadvisor voor ‘het beste park in Europa’ en de ANWB-award voor ‘het leukste uitje over de grens’. Bij de laatstgenoemde verkiezing van de ANWB zijn niet alleen het aantal stemmen bepalend, maar ook de scores op onderdelen als de prijs/kwaliteit, sfeer, personeel, faciliteiten en aanbod.

Meer informatie
Meer Nederlandstalige informatie over attractiepark Europa-Park staat op www.europapark.de.